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Collectif de Franche-ComptéQue disent les exploiteurs...
2 participants
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Que disent les exploiteurs...
Extraits traduit par le site: (daté 14 juillet 2011)
"Un long chemin à parcourir"
Non, contrairement aux Etats-Unis, il ya aussi des préoccupations environnementales fortes dans certains pays européens sur la fracturation hydraulique et de l'approvisionnement en eau et d'élimination. En fait, la Commission européenne M. Schuetz a déclaré que la perspective d'un régulateur, "nous avons besoin de réponses crédibles aux questions d'environnement."
M. Schuetz a également informé l'industrie de prendre une extrême prudence dans les opérations, si elles ne veulent pas faire face à des réglementations supplémentaires, il suffit d'un incident majeur de contamination des eaux souterraines pourrait déclencher de nombreuses nouvelles règles.«Parce que alors la force viendrait sur les politiciens et les régulateurs de faire quelque chose. Donc dans ce sens, il est à vous de vous assurer que vous ne serez pas gêné par la nouvelle réglementation ", at-il dit.
L'industrie est certainement en déplacement sur plusieurs fronts afin d'assurer l'impact de ses opérations de fracturation. La question de la sécurité fracturation hydraulique et si elle met vraiment l'eau souterraine à risque est l'une des questions que l'industrie a défendu à maintes reprises (voir Mai / Juin 2011 Numéro d'entrepreneur de forage).
Pour répondre aux problèmes de gestion de l'eau, M. Van Domelen cité nouvelles technologies telles que l'eau des unités de transformation qui utilisent l'électro-coagulation pour «nettoyer» l'eau produite par un puits de sorte qu'il peut être réutilisé sur les traitements ultérieurs fracturation.
Une autre nouvelle technologie utilise la lumière ultraviolette pour tuer les bactéries dans les eaux fracturation. «La technologie UV est utilisée en ligne avec l'équipement de fracturation pendant le travail pour tuer les bactéries dans les eaux, éliminant ainsi le besoin de biocides chimiques à ajouter à l'eau», at-il dit.
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Site: http://www.drillingcontractor.org/european-shale-gas-a-long-road-ahead-9929
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Il est toujours intéressant de savoir ce que se disent les exploiteurs afin de prévenir l'envahissement et de connaître leurs faiblesses...
À vous de voir....
"Un long chemin à parcourir"
Non, contrairement aux Etats-Unis, il ya aussi des préoccupations environnementales fortes dans certains pays européens sur la fracturation hydraulique et de l'approvisionnement en eau et d'élimination. En fait, la Commission européenne M. Schuetz a déclaré que la perspective d'un régulateur, "nous avons besoin de réponses crédibles aux questions d'environnement."
M. Schuetz a également informé l'industrie de prendre une extrême prudence dans les opérations, si elles ne veulent pas faire face à des réglementations supplémentaires, il suffit d'un incident majeur de contamination des eaux souterraines pourrait déclencher de nombreuses nouvelles règles.«Parce que alors la force viendrait sur les politiciens et les régulateurs de faire quelque chose. Donc dans ce sens, il est à vous de vous assurer que vous ne serez pas gêné par la nouvelle réglementation ", at-il dit.
L'industrie est certainement en déplacement sur plusieurs fronts afin d'assurer l'impact de ses opérations de fracturation. La question de la sécurité fracturation hydraulique et si elle met vraiment l'eau souterraine à risque est l'une des questions que l'industrie a défendu à maintes reprises (voir Mai / Juin 2011 Numéro d'entrepreneur de forage).
Pour répondre aux problèmes de gestion de l'eau, M. Van Domelen cité nouvelles technologies telles que l'eau des unités de transformation qui utilisent l'électro-coagulation pour «nettoyer» l'eau produite par un puits de sorte qu'il peut être réutilisé sur les traitements ultérieurs fracturation.
Une autre nouvelle technologie utilise la lumière ultraviolette pour tuer les bactéries dans les eaux fracturation. «La technologie UV est utilisée en ligne avec l'équipement de fracturation pendant le travail pour tuer les bactéries dans les eaux, éliminant ainsi le besoin de biocides chimiques à ajouter à l'eau», at-il dit.
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Site: http://www.drillingcontractor.org/european-shale-gas-a-long-road-ahead-9929
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Il est toujours intéressant de savoir ce que se disent les exploiteurs afin de prévenir l'envahissement et de connaître leurs faiblesses...
À vous de voir....
Pierrot- Messages : 169
Date d'inscription : 13/02/2011
Localisation : Québec, Canada
Re: Que disent les exploiteurs...
Je sais que c'est purement technique donc essentiellement non crédible mais :
Les UV ne sont pas un traitement satisfaisant parce qu'ils "laissent passer" quelques bactéries, et que la parthenogenèse faisant le reste, les bactéries se multiplient rapidement. C'est un palliatif qui permet dans certains cas seulement de réduire la quantité de bactéricide.
La bactérie qu'il faut éliminer est la "désulfovibrio desulfuricans" qui réduit les sulfates en donnant de l'hydrogène sulfuré. C'est la même qui réagit en l'absence d'oxygène dans les algues bretonnes et qui tue indirectement les sangliers et autres êtres vivants passant à proximité. Pour les pétroliers c'est un produit dangereux, corrosif, et qui pollue leur gaz.
Mais il n'y a pas que les pétroliers, les forages à eau profonds (150-200m) ont les mêmes problèmes, avec malheureusement parfois les mêmes solutions d'injection de bactéricides.
Un point positif quand même, cette bactérie est totalement allergique à la chaleur ce qui évite d'avoir à traiter l'eau dès que la température du sol atteint 50°C, soit suivant les régions vers 1000-1200m. Ce qui est le cas de tous les gisements d'huile et de gaz (schiste ou non) français. Cette remarque ne vaut pas pour les gisements peu profonds Canadiens bien sûr.
Les UV ne sont pas un traitement satisfaisant parce qu'ils "laissent passer" quelques bactéries, et que la parthenogenèse faisant le reste, les bactéries se multiplient rapidement. C'est un palliatif qui permet dans certains cas seulement de réduire la quantité de bactéricide.
La bactérie qu'il faut éliminer est la "désulfovibrio desulfuricans" qui réduit les sulfates en donnant de l'hydrogène sulfuré. C'est la même qui réagit en l'absence d'oxygène dans les algues bretonnes et qui tue indirectement les sangliers et autres êtres vivants passant à proximité. Pour les pétroliers c'est un produit dangereux, corrosif, et qui pollue leur gaz.
Mais il n'y a pas que les pétroliers, les forages à eau profonds (150-200m) ont les mêmes problèmes, avec malheureusement parfois les mêmes solutions d'injection de bactéricides.
Un point positif quand même, cette bactérie est totalement allergique à la chaleur ce qui évite d'avoir à traiter l'eau dès que la température du sol atteint 50°C, soit suivant les régions vers 1000-1200m. Ce qui est le cas de tous les gisements d'huile et de gaz (schiste ou non) français. Cette remarque ne vaut pas pour les gisements peu profonds Canadiens bien sûr.
fly- Messages : 10
Date d'inscription : 06/03/2011
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