Dangers même à distance de la centrale nucléaire

Junex et Talisman dans un territoire dont fait partie la centrale nucléaire Gentilly-2. .
Citant des extraits du BAPE sur l'exploitation du gaz de schiste survenu en octobre dernier, le comité a rappelé à la CCSN que «les galeries horizontales (créées par le forage) peuvent avoir une longueur atteignant deux kilomètres, des galeries pourraient atteindre la proximité de la centrale, bien que forées à partir de la rive nord du fleuve.»

Rappelons qu'une nappe d'eau souterraine captive contaminée par des éléments radioactifs issus de brûlage réalisés à l'ancienne centrale Gentilly-1 se trouve aussi sur les terrains d'Hydro-Québec ou à proximité de ceux-ci.


Le comité de citoyens a demandé au gouvernement du Québec, par la Loi d'accès à l'information, une cartographie de la nappe phréatique, afin d'en connaître l'emplacement, la profondeur, le débit ainsi que le sens de son courant. Le comité attend toujours une réponse.


«Lors du fractionnement du schiste gazifère, on doit appliquer de grandes pressions pouvant atteindre 700, 800 et même 900 atmosphères sur le schiste pour pouvoir le fractionner. Compte tenu du contexte ci-dessus, quels sont les risques de migration (infiltration) de gaz et de liquides de fracturation dans la nappe?» se questionne le comité.


«L'industrie du gaz de schiste ne vérifie pas la présence de radionucléides dans les eaux de fracturation.


Les liquides de fracturation récupérés par l'industrie seront traités dans des usines d'épuration municipales», rappelle le comité qui n'arrive pas à avoir réponse à toutes ses questions.
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Source: http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/dossiers/gaz-de-schiste/201104/18/01-4390831-
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Je pense qu'en France le même problème peut se poser...
À vous de voir...

Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec a accordé, en 2006, une concession pour l'exploration et l'exploitation gazière dans toute la région du secteur Gentilly, à Bécancour, incluant les formations rocheuses en dessous de la centrale nucléaire et dans ses environs immédiats.
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Il est important de ne pas perturber le sol, dans ce secteur, car ils existe aussi à proximité, a-t-on appris hier, une nappe d'eau souterraine captive à écoulement très lent contaminée par la radioactivité à la suite d'activités de brûlage réalisées il y a quelques décennies à l'ancienne centrale Gentilly-1.

Mais ce qui inquiète aussi le comité de citoyens, c'est qu'à proximité de la centrale nucléaire se trouvent notamment des réservoirs contenant 216 000 mètres cubes de produits chimiques hautement réactifs de la phase 2 du projet Servitank ainsi que des réservoirs d'une capacité de 30 millions de litres de paraffine et d'alkybenzène linéaire, un produit hautement toxique, de la phase 1 de Servitank.
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Source: http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/actualites/201104/14/01-4389694-
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On dirait pour exploiter les ressources, on perd toute notion de sécurité. Ce sont "les citoyens" qui doivent faire la surveillance à la place des ministères ! ! !
On dirait des enfants dans un plat de bonbons